| Distribution |
|---|
| Nina Fog, Pascal Rolofse, Christoph Bach, Friederike Kempter |
| Producer |
| Thomas Reisser, Karin Koch |
| Cinématographie |
| Quinn Reimann |
| Montage |
| Jann Anderegg |
| Music |
| Michael Sauter |
| Scriptwriter |
| Julian M. Grünthal, Samuel Schwarz |
| Contact |
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Samuel Schwarz, Julian M. Grünthal Polder World Premiere
Section
international competition
Genre
Fantasy / Mystery / Action
Pays
DE, CH
Durée
90 minutes
La société NEUROO-X a développé un jeu vidéo se basant sur les fantasmes de ses joueurs. Ryuko, la veuve du développeur en chef, découvre que le jeu est potentiellement mortel pour ses participants. Lorsque son fils Walter disparaît dans ce monde virtuel, elle n’a d’autre choix que de mettre sa propre vie en danger en se connectant pour aller lui porter secours. Sa quête devient alors un ressort scénaristique, et Ryuko un personnage à la merci des développeurs… Bien qu’il conjugue sans cesse une série de références, Polder s’affiche comme un objet unique. En dépassant les barrières traditionnelles entre formats, Polder fait preuve d’une originalité folle, empruntant l’esthétique du jeu vidéo pour mieux s’associer à celle du cinéma. Cette innovation visuelle, conjuguée à un récit vertigineux en forme de poupées gigognes, en fait un film continuellement fascinant. Magnifié par ses influences nippones, Polder nous donne à voir la métaphore d’un monde obsédé par le contrôle et s’impose comme une prouesse aussi bien graphique que narrative.